La technique du Récit consiste à raconter un évènement tout en tapotant, et à faire des pauses dès qu’une émotion surgit ou que l’intensité grimpe.
Comme son nom l’indique, elle n’est à utiliser que lorsque le client se sent prêt à parler d’un évènement.
Dans le cas contraire, préférez alors la technique du film, un procédé très similaire, qui permet de se concentrer en silence.
Pratiquer la Technique du Récit
1 – Expliquez la « Technique du Récit » au client puis demandez-lui comment il se sent à l’idée de raconter son histoire : il est probable d’une intensité soit déjà présente.
- Évaluez (de 0 à 10) cette intensité
- Tapotez sur les ressentis et ce qu’exprime le client. Par exemple :
- « J’ai peur de ce que çà peut me faire de raconter cette histoire… »
- « Je me sens nerveux(se) à l’idée de raconter… »
- « Ma gorge me brûle et je sens que je vais tousser… »
Astuce si vous pratiquez seul(e) : placez-vous devant un miroir et parlez à votre reflet, comme s’il s’agissait d’une personne qui vous écoute et qui ne connait pas votre histoire (cela peut vous aider à vous exprimer en détails).
Lorsque l’intensité de départ est retombée et que le client est prêt, passez à l’étape suivante…
2 – Commencer le récit à un moment où tout va encore bien, avant l’évènement douloureux : il est ainsi plus facile de rentrer dans l’histoire.
3 – Demandez au client d’arrêter immédiatement son récit dès qu’il ressent la moindre intensité : c’est très important ! Une intensité ressentie, même minime, indique à coup sûr un aspect à traiter : il ne s’agit donc pas de le rater.
Le client doit absolument comprendre que s’il n’arrête pas, il peut passer à côté d’une occasion de guérison : assurez-vous de bien le lui faire comprendre et insistez dessus.
4 – Faites répéter le récit, encore et encore, tout en tapotant jusqu’à ce que le client puisse raconter son histoire avec détachement, comme s’il s’agissait de quelque chose de parfaitement banal et anodin.
5 – Testez le résultat : demandez au client de fermer les yeux et d’imaginer l’histoire aussi vivement que possible, en exagérant les détails (sensations, visions, sons, etc.) pour essayer d’avoir de l’émotion. Souvent, il n’y en a aucune, mais si c’est le cas, c’est l’occasion de découvrir un aspect caché supplémentaire et de le traiter en tapotant.
Assurez-vous que le client n’ait plus aucune charge émotionelle du tout.
6 – Le test final (si c’est possible) est de confronter réellement le client à la personne ou à la situation incriminée : s’il existe des « restes émotionnels » à traiter, c’est en situation réelle qu’ils feront surface.
Les avantages de la Technique du Récit
- Elle est simple à réaliser et le client parle beaucoup (cela peut lui sembler se rapprocher d’une psychothérapie) : il oublie ainsi plus facilement le côté un peu « bizarre » des tapotements EFT.
- Elle permet d’identifier un à un tous les aspects d’un problème.
- Elle peut être utilisée comme technique principale, ou comme moyen de tester les résultats.
- Elle offre une progression en douceur
- Tout au long du processus, le client vous fournit des indications concrètes et précieuses sur la progression du travail.
Bonjour à vous,
Et merci pour cette page,
Ca fait plus d’une année que j’ai entendu parlé de l’eft à la suite d’une grosse dépréssion plus pleins de symptômes psychologique que je doit vivre au cotidiens et qui me font vraiment trop mal: entre autre des douleurs à la téte et des fatigues récurante, de l’angoisses du stress; et une sorte de sécrétion qui proviens de ma téte qui a un gout amére et qui me fait atrocement souffrir, sans oublié les tremblement … j’ai essayé l’eft a mainte reprise et ca ne semble pas fonctionné avec moi =( meme si je suis convaincu de la méthode, et que jy crois, je commence a pérdre espoir, car mes troubles psychosomatique me dégoute de la vie…
que pouvez vous me conseillé
Cordialement !